La détermination de la quantité de perte est un paramètre important et assez commun dans la plupart des modèles de risque. LGD est un élément essentiel du modèle de Bâle (Bâle II), car il est utilisé dans le calcul du capital économique, de la perte attendue ou du capital réglementaire. LGD est le plus étroitement lié à la perte attendue, qui est le produit résultant de LGD, probabilité de défaut (DP), et l`exposition à défaut (EAD). Dans 2010 chercheurs de Moody`s Analytics quantifier un LGD en ligne avec l`événement de probabilité cible destiné à être capturé sous Bâle. Ils illustrent que les lignes directrices de la LGD sur la récession de Bâle ne sont peut-être pas suffisamment prudentes. [2] leurs résultats reposent sur un modèle structurel qui incorpore un risque systématique de rétablissement. [3] selon l`approche A-IRB et pour le portefeuille de vente au détail selon l`approche F-IRB, la Banque elle-même détermine la perte appropriée donnée par défaut à appliquer à chaque exposition, sur la base de données et d`une analyse solides. L`analyse doit être capable d`être validée à la fois en interne et par les superviseurs. Ainsi, une banque qui utilise une perte interne en raison d`estimations par défaut à des fins de capital pourrait être en mesure de différencier les pertes données par défaut sur la base d`un ensemble plus large de caractéristiques de transaction (par exemple, le type de produit, une plus large gamme de types de garanties) ainsi que l`emprunteur Caractéristiques. On s`attend à ce que ces valeurs représentent une vue conservatrice des moyennes à long terme.
Une banque souhaitant utiliser ses propres estimations de LGD devra démontrer à son superviseur qu`elle peut répondre à des exigences minimales supplémentaires en ce qui a trait à l`intégrité et à la fiabilité de ces estimations. En Australie, l`APRA, régulateur prudentiel, a fixé une LGD minimale provisoire de 20 pour cent sur les hypothèques résidentielles pour tous les demandeurs d`approches avancées de Bâle II. Le plancher de 20 pour cent n`est pas sensible au risque et est conçu pour inciter les ADI à entreprendre d`autres travaux, ce que l`APRA estime être plus proche des 20 pour cent en moyenne que les estimations initiales d`ADIs. Il s`agit d`un paramètre commun dans les modèles de risque et également d`un paramètre utilisé dans le calcul du capital économique, de la perte attendue ou du capital réglementaire en vertu de Bâle II pour une institution bancaire. Il s`agit d`un attribut de toute exposition sur le client de la Banque. L`exposition est le montant que l`on peut perdre dans un investissement. Bien qu`il existe un certain nombre de façons de calculer la perte donnée par défaut, le plus favorisé parmi de nombreux analystes et comptables est le calcul brut. La raison en est en grande partie en raison de sa formule simple, comparant les pertes totales à l`exposition totale.
Cette méthode est également la plus populaire car les analystes académiques n`ont généralement accès qu`aux données du marché obligataire, ce qui signifie que les valeurs des sûretés ne sont pas disponibles, inconnues ou sans importance.